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Test Industry Giant
Vous aviez toujours rêvé d’être à la tête d’une entreprise ? Avec Industry Giant, votre rêve va enfin se réaliser. En effet, vous devrez dans ce jeu créer une société et ce en établissant des usines, en acheminant les matières premières jusqu’à celles-ci et finalement en créant des points de vente.
Money, Money, Money !
Vous l’aurez compris, le but principal dans Industry Giant est de faire du profit. Mais comment faire ce profit ? Et bien, il vous « suffira » de produire des objets puis de les vendre. Il y a moyen de vendre différentes choses, allant du bijou en passant par le meuble et l’ordinateur. Ainsi, vous aurez à construire des usines à matières premières, des routes et terminaux afin d’acheminer ces matières premières dans une de vos fabriques afin de les assembler dans les objets souhaités et de les vendre, dans vos magasins bien sûr.
Mais les possibilités de constructions ne se limite pas à usines – magasins – routes – terminaux car, outre vos usines, vous « gérez » une ville. En réalité, vous ne gérez pas la ville comme on pourrait le faire dans Sim City, mais il faut bien des gens pour acheter vos produits. Dans les autres possibilités de construction vous pourrez par exemple construire des infrastructures ou encore des bâtiments « publiques » tel que des « …. ». De plus, l’emplacement de vos bâtiments à beaucoup d’importance : ainsi, si vous placez un magasin près de peu de maison, vous ne ferrez pas beaucoup de profit comparé à un magasin situé en plein centre ville.
Finalement, il vous faudra définir itinéraires pour vos camions avec des horaires, des cargaisons, etc… et ce afin d’acheminer la marchandise et de rentabiliser la production.
C’est un bâtiment ça ?
En ce qui concerne les graphismes, il faut l’avouer, ils sont très moyens pour l’époque. L’éditeur n’a visiblement pas fait d’effort pour ceux-ci, ce qui peut rebuter encore un peu plus le joueur.
Produits + magasins = $, mais j’y arrive pas
Le mécanisme de base, comme exposé précédemment, n’est pas très compliqué. Cependant, la prise en main du jeu laisse à désirer. En effet, le jeu ne dispose que d’un didacticiel qui ne vous apprend presque rien. En fait, vous avez droit à une succession d’image figée vous expliquant les principes de base (construction d’usines, de fabriques, de routes, …).
Et même avec ces informations, il n’est pas facile de comprendre. L’idée que le jeu développe est que vous devez apprendre vous-même, ce qui risque d’en décourager certains.
Malgré ces quelques difficultés à entrer dans le jeu, il est important de signaler que le jeu a été assez simplifié, à savoir qu’il suffit quasiment de produire de la matière première, de la transformer et de la vendre.
Dernière chose, le jeu comprend, comme expliqué plus haut, un didacticiel mais aussi environ une vingtaine de scénarios avec différentes localisations (près de la côte, au milieu des terres, une grande ville, une petite ville, plusieurs villes, …). Ces différents scénarios permettent de rallonger la durée de vie du jeu, mais il est très probable que vous ne finirez pas le jeu, tellement celui est barbant.
Le bruit de l’argent
Au niveau de l’ambiance sonore, il n’y a pas moyen de faire pire : il n’y a quasi pas de musique de fond, les seuls sons que vous pouvez entendre son des choses non identifié (il semblerait que ce soit des oiseaux mais leur chant ressemble plus à une sirène qu’à un doux et mélodieux chant d’oiseau) et ceux-ci sont affreusement aigu et strident.
Peu convaincant
On pourrait résumer la conclusion suivante au titre : peu convaincant. En effet, ce jeu a du potentiel mais ne l’utilise pas assez et on s’en lasse assez vite : la prise en main du jeu est assez médiocre, les graphismes très moyen, les sons à écorcher vif vos oreilles rend le jeu assez rebutant et ne vous donne pas du tout envie de jeu, de faire les scénarios, …
Les plus :
- Jeu économique (assez rare)
- Assez simplifié
Les moins :
- Prise en main difficile
- Graphisme très moyen
- Bande son ignoble
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